25. [L-4] Etude sur les danses régionales et du monde, par Christophe
Le démarrage de ces débats est directement lié à
l'étude que nous menons pour le compte du ministère
de la Culture. Aussi me semble-t-il nécessaire de
rappeler le cadre et les objectifs de ce travail. La
DMDTS (Direction de la musique, de la danse, du
théâtre et des spectacles) souhaite connaître « les
conditions dans lesquelles s'exerce l'encadrement
professionnel des pratiques de danses régionales ou
nationales et du monde, afin d'étudier l'opportunité
d'une certification professionnelle adaptée à ces
secteurs et d'identifier les modalités de son
éventuelle mise en place ». Dans pareil cas, les
administrations passent un appel d'offres. Des
équipes y répondent, et une équipe est retenue pour
réaliser le travail. C'est la notre qui a été choisie
par la DMDTS.
Notre équipe est constituée de trois chercheurs responsables de l'étude : Aurélien Djakouane (sociologue, docteur de l'EHESS), Maud Nicolas-Daniel (anthropologue, docteur de l'Université de Provence) et moi-même (sociologue, docteur de l'EHESS). Elle est complétée par six jeunes chercheurs, chacun étant spécialiste d'un domaine en particulier, ici en l'occurrence d'une danse. Avec Aurélien Djakouane, nous détenons une certaine expérience de ce type d'étude puisque nous avons réalisé l'année passée un travail similaire sur la danse hip-hop.
Nous avons prévu deux grandes phases pour mener à bien cette étude. D'abord, il nous a paru nécessaire de réaliser un état des lieux de l'ensemble des pratiques de danse régionales ou nationales et du monde en partant des structures d'emploi. C'est la raison pour laquelle nous vous avons adressé un questionnaire. Dans un second temps, nous irons sur le terrain pour rencontrer les acteurs des milieux concernés (employeurs, formateurs, professeurs etc.). Notre objectif est d'éclairer les enjeux qui gravitent autour de l'encadrement de ces danses.
Parce que nous sommes des chercheurs en sciences sociales, notre position est neutre. Le travail du sociologue consiste à questionner les évidences, à déconstruire les mythes et à souligner la complexité des enjeux. Parce que nous formons une équipe qui partage les mêmes manières de faire de la recherche, nous sommes attentifs à ne pas nous laisser influencer par les positions partisanes.
Nous disposons de dix mois pour mener à bien cette étude. Nous vous tiendrons bien sur informé des résultats, lorsque le ministère aura donné son accord pour leur diffusion. D'ici là, pour toute précision supplémentaire, vous pouvez me joindre directement à l'adresse suivante : christophe.apprill@cegetel.net
Bien cordialement
Christophe Apprill
Notre équipe est constituée de trois chercheurs responsables de l'étude : Aurélien Djakouane (sociologue, docteur de l'EHESS), Maud Nicolas-Daniel (anthropologue, docteur de l'Université de Provence) et moi-même (sociologue, docteur de l'EHESS). Elle est complétée par six jeunes chercheurs, chacun étant spécialiste d'un domaine en particulier, ici en l'occurrence d'une danse. Avec Aurélien Djakouane, nous détenons une certaine expérience de ce type d'étude puisque nous avons réalisé l'année passée un travail similaire sur la danse hip-hop.
Nous avons prévu deux grandes phases pour mener à bien cette étude. D'abord, il nous a paru nécessaire de réaliser un état des lieux de l'ensemble des pratiques de danse régionales ou nationales et du monde en partant des structures d'emploi. C'est la raison pour laquelle nous vous avons adressé un questionnaire. Dans un second temps, nous irons sur le terrain pour rencontrer les acteurs des milieux concernés (employeurs, formateurs, professeurs etc.). Notre objectif est d'éclairer les enjeux qui gravitent autour de l'encadrement de ces danses.
Parce que nous sommes des chercheurs en sciences sociales, notre position est neutre. Le travail du sociologue consiste à questionner les évidences, à déconstruire les mythes et à souligner la complexité des enjeux. Parce que nous formons une équipe qui partage les mêmes manières de faire de la recherche, nous sommes attentifs à ne pas nous laisser influencer par les positions partisanes.
Nous disposons de dix mois pour mener à bien cette étude. Nous vous tiendrons bien sur informé des résultats, lorsque le ministère aura donné son accord pour leur diffusion. D'ici là, pour toute précision supplémentaire, vous pouvez me joindre directement à l'adresse suivante : christophe.apprill@cegetel.net
Bien cordialement
Christophe Apprill
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